Samedi : 16/07/2016 et Dimanche 17/07/2016 – Orageux – Visite de la vieille ville. Merci à ceux qui ont pris le temps  de nous répondre sur skype.Le château de San Felipe de Barajas est un fort situé dans la ville colombienne de Carthagène des Indes ; c’est la plus grande forteresse construite par les Espagnols pendant leur période coloniale. Le premier fort date de 1536 — portant alors le nom de château de Saint-Lazare —, mais il est reconstruit en 1657 et renforcé au milieu du XVIIIe siècle.La forteresse est située au sommet de la colline de Saint-Lazare (San Lázaro), une place stratégique : on y aperçoit tous les chemins pouvant mener à une invasion de la ville de Carthagène des Indes par la terre ou par la baie donnant sur la mer des Caraïbes.Le château est protégé par des récifs du côté de la mer et par des fossés côté terre.Le fort était doté de huit canons, pour une garnison de vingt soldats et quatre canonniers. Malgré cela, la ville est pillée en 1697 par un corsaire français, le baron de Pointis.Le fort est notable pour sa grande entrée, ses salles spacieuses, et son dédale de tunnels piégés permettant une évacuation en cas de prise par l’ennemi. Il comporte quatre échauguettes, un entrepôt, un réservoir d’eau et des logements pour les soldats. En face se trouve une statue de Blas de Lezo, un héros local.Voir photo : P7190075-P7160080- La misère cachée P7170126- Photo originale : P707128


Lundi 18/07/2016 et Mardi 19/07/2016 :Les démarches ont été un peu laborieuses, 2h1/2 lundi – 4h1/2 mardi – Ouf le CC en vue il est 12h15, le comble de tout la cerise sur le gâteau, ils nous ont cassé le pare-brise, une belle bosse sur le capot et perdu une clef, heureusement que nous avions le double. A part ça tout va bien. Le moral est toujours au beau fixe. 

Mercredi 20/07/2016 et Jeudi 21/07/2016 : Orage
Nuit atroce, un violent orage s’est abattu au dessus de nous, c’était impressionnant, le pire que l’on est connu jusqu’ici, on ne pouvait pas regarder dehors tellement cela éclairait dans tous les sens.Route vers Medellin, d’un plateau nous sommes montés à 2800m d’altitude, route très étroite et sinueuse, où il fallait jouer d’astuce pour laisser passer l’un ou l’autre, car il y a qu’une route et des énormes camions nous croisaient avec beaucoup de difficultés, la courtoisie était de  rigueur. Nous étions obligés parfois de monter en 1èreet faire des démarrages en côte, mais alors les côtes ouah. A certains endroits un camion s’arrêtait laissait monter les autres pour pouvoir prendre de l’élan, pour monter à son tour, et pas question de se mettre derrière pour les suivre trop dangereux.Voir Photo : P7200139-P7200149- Cochons qui traversent la rue principale : P7200160- José à la source (ils ont coupé les tuyaux d’alimentation, du coup l’eau gicle dans tous les coins et ceci sur des kilomètres : P7210195 – Viande fraîche : P7210199 – Cascade : P7210204